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Retrouvez ici les news de Papa Ours Nature ! Des actualités sur la Grimpe d'Arbres et des reportages sur nos dernières sorties
Ce sont les grimpeu.rs.ses d’arbres qui en parlent le mieux…
« D’abord, il y a la découverte, la surprise, l’excitation, le challenge, l’adrénaline, la
sensation dans le corps, l’admiration …
Ensuite, reste plus qu’un souvenir, l’empreinte. Celle d’un peau à peau exceptionnel avec un être que je n’ai finalement jamais fréquenté d’aussi près, d’aussi haut. La fraternité des cellules qui se rencontrent , se reconnaissent peut être.
L’humilité, la connivence, la gratitude, peut-être la promesse … »
(Marjorie)
« Quand mes pieds ont décollé du sol, j’ai eu l’impression de changer de dimension. Arrivée à mi-hauteur c’était comme si je rentrai dans l’intimité de l’arbre, d’être chez l’arbre, dans sa maison , dans un domaine inconnu des Hommes … »
(Anne)
« … nous sommes des arboricoles descendus, nous en gardons le bonheur de grimper aux arbres et un sentiment de familiarité avec ceux qui furent notre abri, nos chemin, notre nourriture. »
(Alexis Jenni, Parmi les Arbres)
Grimpe d’arbres au JT de FRANCE 2 !
C’est bientôt l'été...
Et si vous osiez les bivouacs dans la canopée ?!
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Une aventure hors du temps à deux pas de la maison. Entre ami.e.s, en famille, dans un hamac perché à 20 m ou plus près du sol pour les moins téméraires, venez vivre une expérience inoubliable à la portée de tous.
– Rdv en fin d’après midi au pied des arbres pour s’installer, découvrir le matériel, les consignes de sécurité et s’initier à la grimpe dans les arbres.
– 20 h repas partagé et histoires d’arbres
– à partir de 21h30 immersion dans la nuit et la canopée : les étoiles, la Lune, la faune… et dodo !
– 8 h à 10h : réveil en douceur, petit déjeuner, rêverie et une dernière grimpe d’arbres pour ceux qui le souhaitent
6 à 8 personnes – 350 à 400 €
Papa Ours Nature au Game of Trees Festival !
Bénabar, Cats on Trees et bien d’autres artistes se sont glissés entre les Mélèzes des Orres (05) pour mixer poésie, engagement et montagne ! Papa Ours avait, lui, installé son campement perché à l’écart, côté monde sauvage. Petits et grands ont pu partir à la découverte de la vie secrète des mélèzes le temps d’une initiation à la grimpe d’arbres ou d’un bivouac dans la canopée.
Rdv pour la troisième édition de ce Festival extra-ordinairedu 29 juillet au 3 août 2024 !
En mars, Papa Ours Nature est sorti d’hibernation pour le printemps
Et ce n’est pas passé inaperçu !
Papa Ours Nature a été mis à l’honneur dans La Provence à l’occasion de sa participation au Family Day du CIAM (Centre International des Arts en Mouvement – Aix-en-Provence), placé cette année sous le signe de la nature. Plus de 60 personnes, petits et grands, ont pu prendre de la hauteur dans les grands pins d’Alep, entre le chapiteau du cirque et le grand trapèze … Un moment de détente avec pour objectif : atteindre les hamacs et s’y glisser pour rêver, dessiner, lire…
Autre lieu, autre ambiance, à Peyrolles, sur les terres du Grand Site Sainte Victoire.
Dans la pinède, les ados de la Maison des Jeunes du village ont pu, avec leur animateur, sortir des sentiers battus pour aller à la rencontre d’un monde tout sauf virtuel : insectes, sanglier, oiseaux, lièvres. Se percher en silence peut réserver de belles surprises !
Enfin la sortie du Club Papa Ours a pris place dans un domaine privé à Venelles qui nous a ouvert exceptionnellement ses portes.
Les grimpeurs d’arbres ont découvert le patrimoine arboré en pratiquant leur activité favorite mais aussi le patrimoine architectural et le patrimoine agricole. La vue imprenable sur le Luberon et la vallée de la Durance a récompensé tous les participants parvenus tout en haut de la canopée.
Danse avec les arbres !
Pierre et Éva dansent avec le chêne… Pas besoin de monter bien haut pour quitter la terre !
Tu me fais tourner la tête, mon manège à moi, c’est toi !
Grimpe d’arbres en janvier en Provence, Grand Site Sainte Victoire - Concors.
Un chêne pubescent magique près du gîte le Catalan Jouques.
les Rencontres Nationales SORTIR
Papa Ours Nature était sur le pont dans le Luberon début janvier pour les Rencontres Nationales SORTIR réunissant tous les passionnés de l’éducation à la Nature.
Vivre, réfléchir, construire, progresser et rêver ensemble.
85 personnes se sont retrouvées dans le Luberon à Saint-Michel-L’observatoire (04) pour s’organiser et agir en faveur de l’éducation dans la nature.
Comme le veut la tradition, nous avons commencé par 1 jour et demi d’immersion dans la nature. Cette année au programme : grimpe d’arbre organisé par Papa Ours Nature, alimentation durable, naturalisme, petite enfance en nature, chantiers participatifs, utilisation du couteau, balade entre ciel et terre, maraudage ou encore découverte du PNR du Luberon.
Moments propices à découvrir l’environnement local, la pédagogie dehors et au dehors, avec comme supports des pratiques particulières, ces ateliers permettent de s’immerger dans l’ambiance du Sortir pour vivre pleinement les rencontres.
Grâce à ces expériences en immersion, les ressentis et réflexions des participants sont venus nourrir les 10 ateliers de contribution pour la 2ème partie des rencontres. Ces ateliers ont pour objectif de réfléchir collectivement à une thématique, une problématique liée à l’éducation au dehors dans la nature, tout en contribuant au plan d’action national de la dynamique Sortir! Au menu : bartasse, « je » libre, syndrome de manque de nature, maraudage, école dehors, règlementation, risque, petite enfance et chantier.
Grimper dans les arbres, c’est changer de point de vue … alors tous dehors !
Plus d’infos : https://frene.org/nos-projets/rencontres-nationales-sortir/
Une belle sortie à la Sainte Victoire
Dans les Calanques, on se demande toujours laquelle est notre préférée ….
A #saintevictoire : d’où préférez vous observer la #montagne ?
Du haut d’un #arbre sur le Cengle ?
« Parmi les arbres, essai de vie commune » Alexis Jenni (Acte Sud)
Quand la poésie se mêle à la science … à moins que ce soit le contraire … ça se déguste et ça éclaire !
Extrait :
Les pucerons sont les seuls à pouvoir percer les vaisseaux de sève brute, riche en sucre, sans qu’ils se referment…
Ils se gavent à tel point qu’ils débordent de sucre, du coup les fourmis ont décidé de les élever en troupeaux comme des brebis.
« Que fait l’arbre pour s’en défendre ? Pas un geste ; il ne peut pas. Mais la piqûre déclenche l’activation de gènes, l’arbre modifie son métabolisme, une chaîne de montage s’active silencieusement dans ses ateliers biochimiques, les premières molécules volatiles sont bientôt relâchées à la surface, les pucerons tout à leur orgie ne soupçonnent rien ; les molécules se répandent, flottent dans les courants d’airs comme des petits ballons sans gouvernail et finissent par rencontrer l’organe olfactif tres sensible des guêpes prédatrices. C’est un signe, le signal qu’il y a là-bas abondance de pucerons, des milliers d’insectes incapables de fuir, gavés de sucre, de vrais petits cochons gras qui feront une excellente nourriture pour leur progéniture. Elles s’approchent de l’arbre d’où vient la délicieuse odeur, ils sont là, un troupeau d’obèses occupés à boire du soda à la paille, et le carnage commence. L’air de rien, l’arbre a appelé celle qui a des ailes pour venir jusqu’à lui et des pinces pour le nettoyer. »
« La vie se recycle, tout le monde mange tout le monde, la vie tourne en rond a ainsi s’entre-dévorer car elle ne vit que d’elle-même, dans un milieu créé par elle-même, et seules les plantes sont une issue à ce cercle infernal car elles ne mangent personne, eau, soleil et gaz leur suffisent, avec une pincée de sels, elles vivent en paix et en silence sur les planètes minérales, elles n’ont besoin d’aucune violence pour créer des mondes. Nous dépendons totalement d’elles. Elles se passeraient bien de nous. »
